Le titre commence mal, me direz-vous. D’accord, d’accord, c’était juste pour la rime.
On parlera de plumes, promis.
La brume ça me manque, après un an de départs dans le brouillard, cherchant dès le matin à retrouver le chemin de l’école à travers le fameux frog londonien… Les murs de briques et les tours du manoir se dressaient enfin sous nos yeux éblouis…Mais je m’égare, notre campus était juste plus ou moins en bordure d’autoroute..
Passons..
Parlons de plumes, donc.
La bonne (voire excellente) nouvelle, c’est qu’H&M a sorti un ravissant bandeau à plumes, à un prix dérisoire (4.95).
La mauvaise nouvelle c’est que j’ai un mal de chien à l’assortir. Et qu’après avoir rêvé des multiples combinaisons qui s’offraient à moi durant l’heure suivant mon achat, je me suis sentie légèrement dégrisée face à ma glace. On ne le voit pas très bien sur la photo, mais ce vert un peu émeraude, irisé, sapin nordique.. irait surement bien à toute brune, rousse… Mais pas à moi.
Je le savais, n’empêche : je ne porte jamais de vert…
Déjà fait l’expérience du blond nordique (qui se souvient de Colin Farrell, dans Alexandre ?) ; je ne m’y re-risquerai pas pour des restes de coq !
Donc je reste avec un magnifique bandeau qui ne va avec rien ; et j’hésite encore face aux deux hypothèses qui s’offrent à moi :
- Le porter coûte que coûte (quitte à risquer le fashion faux pas..)
- Le réhabiliter en oiseau décoratif, broche,… (dangereux face à mes piètres talents d’Arts & Crafts)
Hum… Joker ?
- Acheter la petite robe grise de Zara, qui, peut-être, POURRAIT s’y assortir ?
Joker ! Je vous raconte ça juste après ma pause….
vendredi 27 novembre 2009
Et Paulette et Marine’ière
Ou plutôt dirais-je Marinière et Epaulettes, par respect envers l’ordre chronologique…
Un premier article pour vous mettre définitivement dans le ton, et me prêter à l’exercice le plus basique de la littérature (bloggienne) française … j’ai nommé la critique de la marinière Sandro.
Donc allons-y. Le souci avec la mode, qu’on connait toutes, c’est son caractère éphémère (déjà deux généralités en 4 lignes). Et on se retrouve face à l’éternel dilemme de la modeuse (parfois, ou toujours) fauchée : « investirai-je, ou n’investirai-je pas ? » That’s the question, dirait l’autre.
Le problème majeur, c’est votre rapidité de conversion ; votre capacité à suivre, taux d’entêtement, que sais-je encore. Oui, Galliane en parle depuis plus de six mois, oui Alix me l’a confirmé, tout comme Garance, Géraldine, et j’en passe… Mais est-ce que j’aime vraiment les épaulettes ? Les porterais-je avec autant de classe qu’un mannequin d’Isabelle Marant ?
Et la marinière ? trois, n’est-ce vraiment pas suffisant ?
A priori ça ne l’était pas. Presque trois mois que j’hésite à m’offrir la fameuse marinière Sandro (sisi, celle que vous connaissez toutes, celle des épaulettes à paillettes, à 195)… Et trois semaines que, décidée à passer le cap, je doute sur le bien-fondé de l’achat…. Je cauchemarde du lapin blanc..
« en retard, en retard »… Qu’en pensez-vous ?
Je suis heureuse de vous accueillir chez moi ; du moins sur ce bout d’espace intercybéral ; devenu foyer de mes pérégrinations et vagues à l’âme…
Après avoir longtemps écumé les nombreux blogs de mode et d’humeur offerts sur a toile, j’ai finalement cédé à l’envie de me lancer…
Une première version un peu brouillonne d’un lieu plein des incontournables Mode, Paris, etc…
Après avoir longtemps écumé les nombreux blogs de mode et d’humeur offerts sur a toile, j’ai finalement cédé à l’envie de me lancer…
Une première version un peu brouillonne d’un lieu plein des incontournables Mode, Paris, etc…
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